Imaginer un meilleur financement des maisons de repos, un sac de nœuds
Le financement du secteur s’accompagnera d’une reconsidération des tâches dévolues à chacun. Certains craignent qu’à l’issue de la crise, on ne médicalise trop les maisons de repos. Les aînés doivent avoir le choix et la possibilité financière d’assurer leur prise en charge.

Les stigmates du virus pourraient être bien plus douloureux que la facture qu’il laissera. Des réformes importantes ne feront pas l’économie d’une réflexion sur le financement global des institutions et de choix politiques tranchés. Faut-il plus d’infirmières ou d’aides-soignants ? Les lits doivent-ils être davantage médicalisés ? Et comment garantir une prise en charge qualitative sans augmenter la facture du résident ? Les discussions ne seront pas simples tant les points de vue divergent. Mais des pistes se dessinent, en voici les contours.
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