Les «quatre frugaux» lancent leur propre plan après celui de Merkel et Macron
Quatre pays européens présentent leur propre plan d’aide.

Quatre pays européens ont présenté samedi leur propre proposition de plan de relance pour aider l’Union européenne à surmonter la crise engendrée par la pandémie de coronavirus, réaffirmant leur rejet de tout mécanisme de mutualisation de la dette européenne.
Les Pays-Bas, l’Autriche, le Danemark et la Suède – surnommés les quatre « frugaux » – souhaitent une aide d’urgence pour les pays gravement touchés, sous la forme de prêts ponctuels à des conditions favorables devant être accordés dans les deux ans, selon une proposition publiée par le bureau du chancelier autrichien Sebastian Kurz.
En outre, l’argent prêté doit être « orienté vers des activités qui contribuent le plus à la reprise, telles que la recherche et l’innovation, un renforcement du secteur de la santé et une transition verte », selon la proposition.
Le président français Emmanuel Macron et la chancelière allemande Angela Merkel ont mis sur la table lundi un plan de 500 milliards d’euros afin de relancer une économie mise à mal par la pandémie de Covid-19, via un mécanisme inédit de mutualisation de la dette européenne.
Le fait que l’Allemagne ait souscrit à l’idée d’une dette émise conjointement a été perçu comme un tournant décisif dans la construction européenne.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir14 Commentaires
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Posté par zangaglia sergio, samedi 23 mai 2020, 16:31
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Posté par Cuschera Joseph, samedi 23 mai 2020, 20:03
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Posté par Bartet Guy, samedi 23 mai 2020, 16:51
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Posté par Bartet Guy, samedi 23 mai 2020, 16:16
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Posté par Debaix Marie-jeanne , samedi 23 mai 2020, 15:50
Plus de commentairesJe vois avec plaisir que la seule chose qui chiffonne les lecteurs est l'usage de la langue française: quant à l'Europe, elle peut s’écrouler grâce à ces nains politiques et personne ne s'offusque
Voilà un jugement fort hâtif. On peut être concerné par l'Europe et en même temps s'offusquer d'une erreur grossière d'un niveau équivalent à la deuxième année primaire. Quel crédit accorder à un journaliste qui ne maîtrise pas la langue dans laquelle il s'exprime ou qui ne respecte pas les lecteurs qui paient pour un travail de qualité ?
Le problème est que cet article n'apporte pas grand-chose. On y parle d'un plan qui n'est qu'une répétition des arguments déjà énumérés par les frugaux sans expliquer ce que contient leur proposition. En effet, la seule phrase qui la détaille un peu reprend quasi les termes de la proposition Macron-Merkel. Dès lors, la forme devient la partie la plus importante de l'article. Qui a été corrigé entretemps.
"Les frugaux...lance...". Est-ce vraiment une méconnaissance des bases du français ou une incompétence dans l'usage de l'outil informatique ? À moins que ce soit un cumul des deux ? On est souvent obligé de revenir en arrière pour comprendre ce que le journaliste a voulu écrire, tellement les erreurs altèrent le sens. Pénible.
A quand un test de français avant d'engager un journaliste ? Cela devient vraiment très urgent !