Joël Dicker, derrière les masques
L’écrivain suisse plante le décor de son nouveau roman dans son pays d’origine. Pour le reste, les ingrédients (un meurtre, une enquête, des suspects à tous les étages) n’ont pas bougé.


L a vérité sur l’affaire Harry Québert, La disparition de Stéphanie Mailer et maintenant L’énigme de la chambre 622. On peut faire grief à Joël Dicker de ne pas chercher à briller par la plus grande originalité dans le choix des titres de ses romans, qui éclairent au moins sur la nature de leur contenu : un meurtre, une enquête façon Cluedo où, personne n’étant innocent, tout le monde est potentiellement coupable.
Reste à planter tout cela dans un décor, et à animer les personnages dans un environnement qui, depuis Harry Québert, était essentiellement américain, dans le New Hampshire, dans les Hamptons pour Stéphanie Mailer.

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