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Denise, retraitée

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« Je suis née à Rocourt il y a 98 ans, mes parents tenaient une ferme. J’habite ici depuis une trentaine d’années et je peux vous dire que ça a bien changé. Pour moi, le confinement ne change pas grand-chose, je ne sais de toute façon plus faire mes courses, je me fais aider par une voisine et par mon petit-fils. Mais je vais encore promener dans le quartier avec Léon, mon Jack Russel. »

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En quarantaine: sans jardin, sans kayak et sans résidence secondaire

Le confinement ne se vit pas de la même façon et avec les mêmes contraintes dans une barre d’immeubles que dans une villa quatre façades. Il est des quarantaines qui semblent plus longues que d’autres. Les habitants de la cité des Genêts, sur les hauteurs de Liège, racontent au « Soir » leur quotidien, leurs frustrations et leurs impatiences.

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