Coronavirus: les confinés du déconfinement

Bien que les chiffres de contamination soient rassurants, le virus circule toujours. Pour les personnes les plus à risque, le déconfinement pose un terrible dilemme.

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Le groupe des personnes à risques recouvre des situations extrêmement différentes d’un individu à l’autre.

Journaliste au service Enquêtes

Par Lorraine Kihl

Publié le 19/06/2020 à 07:11 Temps de lecture: 6 min

Terrasses bondées, masques gardés dans les poches, distances qu’on peine à tenir, contacts qui se multiplient… A mesure que les rapports journaliers égrainent les chiffres rassurants, c’est relâche. Un besoin de retour à la normale de plus en plus pressant et de plus en plus… menaçant. Avec le virus qui continue de circuler, le déconfinement représente un dilemme impossible pour les personnes qui se savent particulièrement vulnérables dans le cas où elles contracteraient la maladie.

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2 Commentaires

Posté par Pierre Lison, vendredi 19 juin 2020, 10:22

Et SI … Si tous ceux et celles qui devaient l’attraper l’ont eu ou l’auront ?

Posté par Bricourt Noela, vendredi 19 juin 2020, 7:44

Mais maintenant les soins existent et le virus est mieux connu. On n'en est plus au stade où l'on bloquait les soins, genre consultations par téléphone et après prise en charge des malades quand ils étaient dans un état avancé de la maladie. Maintenant , on peut espérer être pris en charge plus rapidement et même peut-être bénéficier d'un test en début de maladie. C'est vrai que la gestion de la crise a de quoi faire peur à ceux qui ont été qualifiés de fragiles avec risque de séquestration prolongée.

Posté par Pierre Lison, vendredi 19 juin 2020, 10:22

Et SI … Si tous ceux et celles qui devaient l’attraper l’ont eu ou l’auront ?
Posté par Bricourt Noela, vendredi 19 juin 2020, 7:44

Mais maintenant les soins existent et le virus est mieux connu. On n'en est plus au stade où l'on bloquait les soins, genre consultations par téléphone et après prise en charge des malades quand ils étaient dans un état avancé de la maladie. Maintenant , on peut espérer être pris en charge plus rapidement et même peut-être bénéficier d'un test en début de maladie. C'est vrai que la gestion de la crise a de quoi faire peur à ceux qui ont été qualifiés de fragiles avec risque de séquestration prolongée.