Mehdi Bayat: «J’accepte les critiques mais les attaques personnelles sont difficiles à vivre»
Élu à la succession de Gérard Linard à la tête de l’Union belge, le candidat surprise du scrutin 2019 s’est installé dans la fonction comme on rajoute une plage horaire à des journées déjà bien chargées. Entre la prolongation de contrat de Roberto Martinez, ses projets de stade à Charleroi, le Footbelgate étrangement perdu dans les silences de ses enquêteurs, le confinement généralisé, le feuilleton de l’arrêt du championnat, les coups bas et les coups de théâtre, sa vie d’hyper président en vaut plusieurs.


Dans son nouveau bureau, en contrebas de l’ancien secrétariat du Mambourg, rien ne trahit le moindre signe de son profil multifonctions. L’administrateur délégué du Sporting est dans un univers 100 % zébré et s’échine à rattraper le temps perdu au plus fort de la crise sanitaire pour préparer la saison 2020-21 de son club. La reprise des entraînements a eu lieu dans un contexte de distanciation sociale qui contraste avec les joies des retrouvailles et les besoins de ressouder le collectif. S’il ne se trouvait pas un élément extérieur pour lui faire lever la tête, sa journée aurait été entièrement consacrée au Sporting. Mais le premier anniversaire de son accession aux plus hautes fonctions de l’Union belge, en qualité de 12e du nom dans la galerie des portraits présidentiels, l’a soudain rappelé à d’autres réalités. Tour d’horizon d’une année de mandat dont les trois derniers mois resteront à jamais gravés dans sa mémoire.

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«comme on rajoute une plage horaire à des journées déjà bien chargées», « sa vie d’hyper président en vaut plusieurs»: comme les 3/4 des gens ? Faudrait qu'on le plaigne aussi ? On est en 2020, on peut arrêter avec l'éloge du travail.