«La pandémie du tweet imbécile»
Les politiciens ne devraient-ils pas s’abstenir de tweeter à tout va et réserver leur communication à un partage de réflexions nourries ?

Une précision s’impose quant à l’emploi, dans ce titre, du terme « imbécile ». Laissons le libre choix du sens. L’étymologie latine est imbecillus, « faible ». Et il peut s’agir d’une faiblesse du corps, de la voix ou de l’esprit. D’où le premier sens répertorié en français – et « vieilli » – de « faible, débile ». Le sens courant nous est plus familier : « qui est dépourvu d’intelligence, qui parle, qui agit sottement ». Quant à moi, j’utilise ici l’adjectif dans le premier sens. Rien n’empêche de préférer le second ni d’estimer que, parfois, l’un n’exclut pas l’autre.
La mise en question concerne le dispositif même que Twitter a imposé à ses utilisateurs. Il me pousse à dire qu’un tweet constitue, en quelque sorte, un aveu de faiblesse. Et même de plusieurs faiblesses.

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