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Quand le vin belge s’anoblit

Série d’été. Plusieurs grandes familles ont décidé d’investir dans le vin. Pas toutes avec la même idée derrière la tête.

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Temps de lecture: 8 min

Depuis quelques années, un nouveau phénomène secoue le monde de la vigne : l’arrivée de grandes familles nobles, souvent en possession de nombreuses terres. A l’heure où laisser son argent en banque ne rapporte plus rien, se diversifier et se lancer dans la viti/viniculture peut être un investissement rentable. Si pas dans l’immédiat, puisqu’il faut souvent attendre entre huit et dix ans pour arriver à l’équilibre, cela sert pour les générations futures. « J’avais envie de faire vivre autrement la propriété et le château, que mes enfants n’aient pas que des soucis. C’est plus qu’un investissement, c’est accrocher une propriété et sa famille à sa terre », explique Michel Verhaeghe de Naeyer, propriétaire du château de Bousval.

La Falize, un produit rare, cher qui se cultive dans la discrétion

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