La coopérative, modèle résilient et durable

Ce n’est sans doute pas un hasard si les coopératives belges les plus anciennes toujours sur pied puisent leurs racines dans la fin des années 60. Années de révolution. Révolte étudiante débouchant sur Mai 68 et la scission de l’Université catholique de Louvain après les cris de « Walen buiten ». Première prise de conscience écologique. Combat pour les droits des femmes et des minorités et vote de la loi américaine sur les droits civiques. Forcément, l’entreprise, elle aussi, se rebelle. Et ceux qui la font crient leur indépendance par rapport à un modèle qui ne leur convient pas.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Un critère fondamental oublié dans cet article: La coopérative: un homme = une voix , peut importe le nombre d'actions Dans l'entreprise classique, c'est le nombre d'actions qui détermine le nombre de voix et par conséquent l'issue du vote en AG de l'actionnaire coopératif ou classique n'est pas la même. Inconvénient, la coopérative est toujours associée aux poches de pauvreté, principalement dans le tiers monde et reste une entreprise à part alors que l'entreprise classique est une entreprise à part entière.