Coup d’Etat au Mali: la crainte de la contagion
L’arrestation du président malien par des militaires, il y a quelques jours, fait craindre un effet domino dans la région, dont pourraient profiter les djihadistes.


La Cedeao (Communauté des Etats d’Afrique de l’Ouest) se réunissait par vidéoconférence, jeudi, pour aborder le coup d’Etat au Mali. Elle avait déjà condamné le renversement du président (contesté) malien, Ibrahim Boubacar Keïta (dit « IBK »), par des militaires. Elle a depuis annoncé la suspension du Mali des prises de décision en son sein et de toutes les relations « commerciales, économiques et financières » entre ses pays membres et Bamako, de même que la fermeture des frontières tant que l’ordre constitutionnel n’est pas rétabli.
La question d’un éventuel effet domino de la situation malienne aux autres pays de la région est sur toutes les lèvres, des élections auront lieu dans les prochaines semaines en Côte d’Ivoire et en Guinée. Le Burkina Faso et le Niger tiendront aussi des élections cette année.

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