La rentrée littéraire pour ancrer l’attrait du livre belge
« Des livres belges dans votre valise » : le slogan des éditeurs de chez nous a bien fonctionné depuis le mois de mai. La rentrée littéraire belge veut surfer sur ce mouvement.


Jusqu’à présent, on parlait peu de rentrée littéraire belge. Les libraires étalaient sur leurs tables les nouveautés des éditeurs français, mais il n’y avait pas vraiment de nouveautés auprès des éditeurs belges. Qui suivaient plutôt une courbe de parution plus plane, moins accentuée sur le 20 août. Et puis, cette année, avec l’aide d’Objectif Plumes, le portail des littératures belges, plusieurs éditeurs se sont mis à organiser une présentation numérique de leurs nouveautés, ce qu’ils ont appelé un webinaire.
Il y avait là les Impressions nouvelles, Espace Nord, Genèse, MEO, Quadrature, le Cerisier, l’Arbre de Diane, Esperluète, Lansman, Midis de la poésie, Tétras-Lyre et Weyrich, A pas de loups, Versant Sud Jeunesse, FRMK et Les Éditions du Tiroir. Les éditeurs belges veulent maintenant peser sur la rentrée littéraire.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Mon recueil de poésies brèves est publié par une petite maison d’édition française qui publie aussi des « pointures » comme la poétesse dissidente cubaine Zoé Valdès ou la romancière Françoise Rey. J’ai fait parvenir aux rédactions du Soir, de La Libre et du Vif un exemplaire de mon recueil. Résultat, même pas un accusé de réception... .
La Belgique francophone correspond à 4,5 départements français. Moins qu'une région. Imaginez-vous la Lorraine ou la Bretagne recommander à ses habitants de privilégier les auteurs locaux au détriment de la reste de la France/francophonie ? Ridicule ! Si les Français (Suisses, Québécois et Africains) cessent de lire nos auteurs par protectionnisme, ces derniers ont plus à perdre que ces mesures mesquines leur font gagner.