Supérieur: «Cette période délicate va marquer davantage le parcours des étudiants»
Dans le supérieur, les enseignants s’attendent à voir débarquer une promotion présentant des lacunes sur les matières de base et sur la possession de certains « codes »

Pas de remédiation imposée à la rentrée des hautes écoles et universités. Ainsi en a logiquement décidé la ministre compétente Valérie Glatigny (MR). Parce que l’enseignement supérieur n’a rien d’obligatoire dans le cursus belge. Et parce qu’aussi de nombreuses institutions mettent depuis longtemps en place des initiatives préparant les élèves de rhéto à ce grand saut vers l’inconnu. Par contre, Covid oblige, elles sont nombreuses à avoir renforcé leurs dispositifs. On parle désormais d’applications de remise à niveau interactive, de tests diagnostic avec remédiation, de coaching personnel offert par des étudiants de seconde… On parle aussi de semaines préparatoires suivies avec beaucoup plus d’assiduité que les autres années. Sera-ce suffisant ? Nous avons posé la question à Nicolas Marquis, chercheur et enseignant à l’Université Saint-Louis Bruxelles, spécialiste de l’échec.

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