«Mes excuses»: lettre à mon fils, à ma fille
Après la colère et la tristesse, le temps est venu pour moi de te présenter mes excuses. Cela fait 20 ans que je te mens. La chronique de Béatrice Delvaux.


Cher toi,
Ce matin, j’ai hurlé, en traversant notre ville du nord au sud. Je ne pouvais arrêter mes larmes. Je voulais me boucher les oreilles, je n’en pouvais plus d’entendre les sirènes.
Mais après la colère et la tristesse, le temps est venu pour moi de te présenter mes excuses. De te demander pardon.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir12 Commentaires
-
Posté par Léon Guillaume, mercredi 23 mars 2016, 16:52
-
Posté par VANHESE ALPHONSE, mercredi 23 mars 2016, 14:41
-
Posté par Henri RIGA, mercredi 23 mars 2016, 14:10
-
Posté par Philippe Douin, mercredi 23 mars 2016, 13:59
-
Posté par rené van acker, mercredi 23 mars 2016, 13:35
Plus de commentairesFélicitations Madame Delvaux pour ce texte si sensible et empreint d'humanité et de dignité. Notre pays vous est reconnaissant de vos remarquables interventions sur les chaînes TV françaises. Rigueur et retenues les ont caractérisées. Merci, nous sommes fiers de vous.
Merci Madame pour la traduction de nos sentiments les plus intimes
Bonjour Madame, je trouve votre texte remarquable...Je partage entièrement votre réflexion, vos émotions,vos interrogations. Parent également et grand-père heureusement comblé, je me demande quel monde nous allons laisser à nos enfants. Baignés initialement par les idéaux de mai 1968 ( ea : il est interdit d'interdire!) comme nous sommes aujourd'hui loin de nos objectifs généreux...
Merci
merci , votre texte sonne vrai