Le Grand Tour: «Faut-il être bien né pour être cultivé ?»
Après une journée de pause, le Grand Tour reprenait ce dimanche sur le thème de la justice sociale. « Faut-il être “bien né” pour être cultivé ? », telle était la question posée aux marcheurs au départ de Marchin pour Andenne.

Dès les premiers kilomètres, les marcheurs s’accordent sur le constat de l’injustice sociale éloignant chaque jour les classes populaires de la culture. Lorette Moreau, jeune artiste explorant les nouvelles formes de relation entre le public et le comédien, partageait au groupe des lectures arguant dans ce sens. La place d’Annie Ernaux, ou encore Retour à Reims de Didier Eribon démontrent en quoi les classes populaires ne pourront jamais participer au partage de la culture avec les classes supérieures. Le Grand Tour s’est demandé comment pallier ce problème sur le long terme. La seule option de la gratuité de la culture n’a pas convaincu les marcheurs comme levier à une augmentation de la curiosité et de la diversité.

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