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L’incertitude commence à gagner le secteur immobilier

Dans les études notariales, le nombre de transactions immobilières est reparti à la baisse en juillet en Wallonie et a même plongé de 10 % à Bruxelles. L’euphorie post-confinement est-elle terminée ? Sur le terrain, on anticipe un retour à un marché « normal » à la rentrée, toujours dynamique, mais teinté d’incertitudes.

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Temps de lecture: 5 min

Des chiffres records, des agendas pleins à craquer, des acheteurs et vendeurs plus impatients que jamais… A la mi-mai, c’est avec un grand enthousiasme (et une pointe de soulagement) que le secteur immobilier a entamé son déconfinement. Une effervescence confirmée d’ailleurs par les chiffres. Si le nombre de transactions immobilières avait plongé en mars, avril et mai (par rapport aux mêmes mois l’an passé), les choses sont franchement reparties dans le vert dès le mois de juin, dans toutes les régions du pays. Et les sons de cloche du terrain laissaient présager une poursuite du mouvement pour quelques semaines, voire quelques mois encore. Mais visiblement, il faut nuancer.

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2 Commentaires

  • Posté par Lemaire Laurent, mardi 1 septembre 2020, 10:04

    je ne comprendrai jamais cet engouement des personnes à passer par une agence pour vendre leur bien, tout cela pour une commission de 3,63% ce qui donne lieu à des sommes colossales pour un travail somme toute simple: le propriétaire est le plus à même de décrire et vanter son bien, placer une annonce sur immoweb n'est pas la fin du monde, ni demander le certificat PEB ou contrôle électricité (de toutes façons aux frais du vendeur). Pour le compromis et l'acte, prendre son propre notaire ne coûte rien de plus (honoraires partagés entre les 2 notaires). Donc pour moi, sauf cas de force majeure (pas présence à proximité du bien à vendre), le recours onéreux à un agent immobilier ne se justifie pas économiquement.

  • Posté par Petre Eric, mardi 1 septembre 2020, 12:19

    Vous seriez étonné. Pour avoir essayé de vendre moi-même sans succès l'appartement de mes parents puis être passé par agence j'ai pu constater que vendre est un métier. Évidemment si vous vendez un bien particulièrement recherché et avec peu de concurrence ça va la peine d'essayer mais dans le cas contraire vendre seul c'est souvent l'assurance de rester de longs mois avec un bien inoccupé sur les bras. Et ça aussi ça a un coût, avec les charges et taxes qui continuent à tomber.

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