Les souffrances du jeune Dimitri
Avec « Comédies françaises », Eric Reinhardt dresse le portrait d’un jeune homme en colère, enquêtant sur un fiasco politique et transi par le spectre de la passion amoureuse. Epoustouflant !


Du personnage principal du livre, que nous suivrons pendant près de 500 pages, l’auteur nous apprend, dès la première page, qu’il avait vingt-sept ans au moment où il trouva la mort, accidentellement. Le point de départ du roman est ainsi son point final.
L’homme s’appelait Dimitri Marguerite. Il était né en 1989, au moment précis où le monde basculait, faisant sauter les fameux murs d’après-guerre. Cela vous pose une génération. Dimitri est un esprit engagé. Un être sensible, qui a le don de percevoir des fluides, des ondes invisibles. Un journaliste (à l’AFP) doublé d’un intellectuel, aussi, consacrant des études à deux points de basculement du vingtième siècle. Dimitri projette d’un côté d’écrire un livre sur la rencontre, dans le New York de 1942, entre Max Ernst et Jackson Pollock – au moment où la peinture américaine, sortant de son berceau, entreprit de conquérir le monde.

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