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Affaire Chovanec: l’ex-ambassadeur slovaque décrit sa rencontre avec Jan Jambon

Stanislav Vallo, l’ambassadeur de Slovaquie en Belgique au moment du décès de Jozef Chovanec, se souvient de sa rencontre avec l’ex-ministre de l’Intérieur belge. Contrairement à Jan Jambon.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 4 min

C’est la rencontre dont Jan Jambon jure la main sur le cœur qu’il n’a gardé aucun souvenir. Dans un entretien au journal slovaque DennikN publié ce mercredi, l’ex-ambassadeur de Slovaquie en Belgique, Stanislav Vallo, décrit cette rencontre pour la première fois.

Retour en arrière : dans la nuit du 23 au 24 février 2018, l’entrepreneur slovaque de 38 ans Jozef Chovanec fait un arrêt cardiaque dans la cellule de l’aéroport de Charleroi. Dans les circonstances troubles que l’on connaît aujourd’hui. Le lendemain, son épouse, leur petite fille et son beau-frère arrivent à son chevet à l’hôpital Marie-Curie de Charleroi. L’ambassadeur Vallo est déjà à leurs côtés.

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6 Commentaires

  • Posté par Pochet Bernard, jeudi 10 septembre 2020, 17:38

    J'ai vraiment honte pour notre pays et peur maintenant de me faire contrôler par la police pour quoi que ce soit.

  • Posté par Biot Philippe, mercredi 2 septembre 2020, 20:31

    . La vérité sortira du tribunal, pas d'un entretien entre deux politiques.

  • Posté par Meura Gilles, mercredi 2 septembre 2020, 19:11

    Morale de l'histoire : pour faire bouger les choses, il faut faire intervenir les médias. Sans ça le politique se cache derrière le judiciaire et l'administration. Et pour ce qui est du judiciaire, on sait qu'il ne va pas très vite. Quant à l'administration, il semble clair qu'il y a eu une solide rétention d'information. Pour protéger des agents dont la culpabilité devrait pourtant être démontrée assez facilement. Bref un bon gros cover-up. Et donc la double question classique : que savait Jan Jambon, et quand l'a-t-il su ?

  • Posté par Biagini Benoît, mercredi 2 septembre 2020, 20:30

    Je partage votre analyse et vos questions. Je crains que s'il n'y a pas de fuite au sein de la police ou de l'administration, ça n'ira pas beaucoup plus loin que les quelques gesticulations d'usage en provenance de l'opposition. Personne ne sera coupable, personne ne sera responsable....

  • Posté par Spilman Marie-Anne , mercredi 2 septembre 2020, 18:46

    La N-VA et le goed bestuur flamand ... Ils voulaient nous donner des leçons, on a vu ... ! Constant Depièreux

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