Accueil Opinions Éditos

Le temps du deuil, le temps du débat

Il faudra bien plus de temps pour panser les blessures de la Belgique. Et pour ce faire, deux éléments sont nécessaires : la sérénité et la clarté. L’édito de Christophe Berti.

Article réservé aux abonnés
Rédacteur en chef Temps de lecture: 3 min

Des larmes, des silences, de la solidarité réjouissante. Et de la sobriété. La Belgique a entamé son deuxième jour de deuil, mercredi, avec une grande dignité. Curieusement, l’émotion ressentie dans tout le Royaume était plus forte que celle de la veille, jour des attentats sanglants qui ont endeuillé Bruxelles. En fait, on a l’impression que le pays était sous le choc mardi, comme tétanisé par la violence sauvage des terroristes, alors qu’hier, on commençait à mettre des noms, des visages et des histoires sur les victimes. Une personnification qui nous ramène à notre propre fragilité et provoque une compassion naturelle. C’est ce qu’on appelle le deuil. Il durera, officiellement, jusqu’à ce jeudi soir. Mais il faudra bien plus de temps pour panser les blessures d’un pays.

Et pour ce faire, deux éléments sont nécessaires : la sérénité et la clarté.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Éditos

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs