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Marco Martiniello: «Cela traduit une panique des sociétés, même où il n’y a presque pas d’immigrés»

Aux quatre coins de l’Union européenne, une même question : quelle attitude adopter devant le flux de migrants qui arrivent en Europe ?

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 4 min

Selon Marco Martiniello, chercheur à l’ULg et directeur du Centre d’études de l’ethnicité et des migrations, les différents pays de l’UE optent pour des politiques « de plus en plus restrictives, sécuritaires, basées sur la peur et le repli ».

Rien que cette semaine-ci et la semaine dernière, plusieurs événements illustrent ce phénomène.

Le 13 juillet, la Hongrie a par exemple commencé à ériger une clôture de quatre mètres de haut à la frontière avec la Serbie (lire ci-dessus). L’objectif est de calmer les arrivées massives de migrants par la frontière sud du pays. Cette année, 77.600 migrants sont arrivés en Hongrie par la Serbie, après avoir remonté la route des Balkans.

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