Exigences du CD&V au sujet de la loi sur l’avortement: la gouvernance, entre cénacle et comptoir
Joachim Coens, le président du CD&V, le dit sans sourciller : la réforme de la loi sur l’avortement ne doit pas émaner du Parlement mais faire l’objet de discussions au sein de la future coalition fédérale…


Une affaire de gouvernement ! Joachim Coens, le président du CD&V, le dit sans sourciller : la réforme de la loi sur l’avortement ne doit pas émaner du Parlement mais faire l’objet de discussions au sein de la future coalition fédérale. Où siègerait son parti. Et où il pèserait d’un poids politique suffisant pour bloquer le projet.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir14 Commentaires
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Posté par Verkaeren Paul, vendredi 4 septembre 2020, 8:35
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Posté par Suys Emmanuel, jeudi 3 septembre 2020, 23:12
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Posté par Son Ivan, jeudi 3 septembre 2020, 20:16
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Posté par Jérôme De Greef, vendredi 4 septembre 2020, 0:36
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Posté par Paraszka Gabriella, jeudi 3 septembre 2020, 20:01
Plus de commentairesprendre la vie et le ventre des femmes en otage, comme condition pour entre dans une coalition, c'est immonde. Espérons que l'Avanti se fracasse au plus vite le nez contre le mur de la honte.
Le CD&V fréquente trop la NVA, elle en a perdu le sens démocratique.
Malgré leur perte d'importance dans l'électorat, ces bigots rétrogrades sont en position de force pour maintenir les femmes sous le joug de leurs dogmes d'un autre temps. À vomir...
Merci votre post m'évite de redire la même chose ;)
Ne pourrait-on proposer un referendum à la population féminine sur la question de l'avortement ? Finalement c'est elles qui en sont concernées en première ligne...