Brexit: rumeurs et menaces à l’entame de nouveaux pourparlers
Il reste huit semaines pour boucler un accord sur la future relation avec les Britanniques. Mais les parties stagnent et les esprits s’échauffent.


La presse britannique du week-end laisse peu de doute sur l’esprit dans lesquels les Britanniques entament cette semaine un des derniers cycles de négociations planifiés sur les futures relations avec l’UE post-Brexit.
Dès mardi, les négociateurs britanniques et européens se retrouvent pour l’avant dernière session de pourparlers de septembre. La tension est déjà dense, puisque les parties ont passé l’été à buter sur toujours les mêmes sujets sensibles de leur futur commun, à savoir la pêche et les conditions d’accès au marché européen. Dans ces dernières, l’UE insiste pour que Londres offre quelques engagements en matière d’aides publiques à ses entreprises, par exemple, pour ne pas créer une situation de concurrence déloyale à quelques kilomètres de l’Europe continentale. Le Royaume-Uni, de son côté, rappelle que s’il a voulu quitter l’UE, c’était pour récupérer le contrôle total sur tous ces dossiers.

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Surtout ne pas céder aux exigeances de britanniques. Si ils veulent partir, qu'ils partent sans accord. On fera encore bien encore du commerce avec eux, on le fait bien avec la Chine, L'Inde ou la Turquie...
Et comment, qu'ils foutent le camp le plus vite possible,ils sont en bonne mains avec le gros blond