Tadej Pogacar, le troisième visage de la nouvelle génération
Il incarne la relève du cyclisme, qu’il aborde comme un sport qui valorise l’audace et la prise de risques. A 21 ans, Tadej Pogacar a enlevé sa première victoire d’étape sur les routes du Tour, un an après avoir éclaboussé la Vuelta de son talent.

Il s’est pris un vent vendredi, piégé par les coups de bordure fomentés par la Bora de Peter Sagan, peu protégé par une équipe Emirates à la stratégie collective friable, peu lisible. Mais c’est surtout un coureur dans le vent, dont la précocité est comparable à l’élan qui a déjà porté Egan Bernal et Remco Evenepoel vers le pinacle. Visage au teint diaphane, pas encore buriné par les milliers de kilomètres sous la brise humide ou le soleil agressif, Tadej Pogacar est une âme bien née, qui n’attend dès lors pas le nombre des années. Avec le premier lauréat colombien du Tour de France et le surdoué de Schepdaal, il incarne le futur du cyclisme mondial, il se dessine un avenir enchanteur, comme ce tour du même nom qu’il a remporté en 2018.

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