Une déjà longue histoire de démissions
La démission ministérielle fait partie du paysage politique belge. Des ministres ont souvent été mis sous pression, d’autres ont parfois refusé de faire un pas de côté, d’autres ont assumé leurs responsabilités.

Hormis les démissions pour désaccord politique ou suite à un nouveau plan de carrière, la vie politique belge a été émaillée de quelques retentissantes démissions pour « faute » « affaire » ou « prise de responsabilité » après des erreurs administratives ou autre.
1985 Suite au drame du Heysel et aux fautes commises par les services de gendarmerie, le ministre de l’Intérieur de l’époque, Charles-Ferdinand Nothomb (PSC, actuel CDH) refuse mordicus de démissionner. C’est le ministre de la Justice Jean Gol (PRL, actuel MR) qui le fera, outré de l’attitude de son collègue et des officiers.

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