Le salutaire coup de gueule de Carl Norac
Dans un bel essai publié par Les Midis de la poésie, le « poète national » de Belgique s’insurge contre les clichés et fausses vérités accablant la poésie.


Que n’a-t-on lu et entendu, sur la poésie ! Pas toujours élogieux, soyons honnêtes. Les mots qui viennent ? Vieillotte, élitiste, ringarde, déconnectée du monde, mièvre. Elle serait tantôt hermétique et un peu lénifiante, prononcée par de vieux bonzes solennels et ridicules… quand elle s’adresse aux adultes ; tantôt simplette et puérile… quand elle parle aux enfants. Baudelaire, Ferré, Dickinson, Aragon doivent se retourner dans leurs tombes.

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