Julie Allemand fait forte impression aux États-Unis: «La WNBA m’a remarquée»
La meneuse liégeoise de l’équipe nationale a affirmé qu’elle avait sa place dans la meilleure Ligue du monde, même si son équipe a échoué et que le contexte n’était pas rêvé.

Une réussite individuelle exceptionnelle, malgré un échec collectif. C’est le bilan de la première expérience de Julie Allemand en WNBA, le championnat nord-américain féminin, pendant de la NBA. À 24 ans, la meneuse de l’équipe nationale, championne de France 2019 avec l’Asvel-Lyon, son club ces trois dernières saisons après les cinq trophées conquis avec les Castors, s’estimait mûre pour se mesurer au gratin du basket mondial et rejoindre Indiana, la franchise qui l’avait « draftée » (sélectionnée) dès 2016. La pandémie et le combat pour plus de justice sociale que mènent aux États-Unis les Afro-Américains, majoritaires dans ces Ligues, ont malheureusement terni son rêve. D’autant que le Fever, 11e sur les 12 équipes engagées avec 5 victoires pour 15 défaites, n’a pas atteint son objectif : figurer dans le Top 8 pour renouer avec les playoffs.

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