Crise politique belge: des failles béantes
Jan Jambon et Koen Geens ne pouvaient rien faire d’autre que de présenter leur démission face aux éléments concrets quant au manque de rigueur dans le dossier d’Ibrahim El Bakraoui. L’édito de Christophe Berti.


Décidément, rien ne sera épargné aux Belges. Après les attentats de mardi, après l’émotion, les larmes et le deuil, voilà la crise politique. Une crise dont le pays se serait bien passé dans les circonstances actuelles. Mais cette crise est d’autant plus importante qu’elle est le fruit de dysfonctionnements sérieux de la police et de la justice, soulignés par les ministres concernés eux-mêmes, qui ont présenté leur démission au milieu d’une nuit d’une tension extrême.

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