A la Mostra, l’auteur redevient le doge de Venise
Alors que le jury présidé par Cate Blanchett dévoilera son palmarès ce samedi, bilan d’une 77e édition particulière… mais réussie !


Organiser un festival de cinéma alors que le monde connaît une crise sans précédent… Une utopie ? Un non-sens ? Une nécessité ?
Sans conteste, la Mostra a démontré ces dix derniers jours à quel point son maintien était important, essentiel, crucial. Au départ, les attentes et les espoirs étaient pourtant assez faibles : pas (ou presque) de films américains, le genre qui permet de lier grand public et propositions plus artistiques mais qui attire surtout la lumière ; une sélection plus épurée ; des auteurs pas forcément connus. En arrivant ici, on avait un peu cette impression que Venise revenait quatre ou cinq ans en arrière, en proposant des films un peu trop obscurs et éloignés du public.

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