Stéphane Pauwels raconte sa descente aux enfers devant la justice
Le tribunal correctionnel de Charleroi est délocalisé au Lotto Mons Expo pour raisons sanitaires. L’ancien animateur télé Stéphane Pauwels y a parlé de sa descente aux enfers, mais il a nié sa participation dans un home-invasion à Lasne.


Une salle bien triste pour une bien triste affaire. Le Lotto Mons Expo s’est habillé de noir ce lundi, avec des tentures pour améliorer l’acoustique du hall, afin d’entendre pendant une semaine les protagonistes de ce que l’on a appelé l’affaire Hakimi-Pauwels, pour une série d’attaques à main armée et home-jackings commis entre 2015 et 2017 dans les provinces du Hainaut et du Brabant wallon. Des audiences du tribunal correctionnel de Charleroi, délocalisées pour cause de mesures sanitaires, et placées sous haute protection policière.
La plupart des 27 prévenus comparaissent libres, comme Stéphane Pauwels, l’ancien animateur télé, mais d’autres étaient escortés chacun par deux policiers parce qu’ils sont détenus, tandis que le présumé chef de l’association de malfaiteurs, Farid Hakimi, comparaissait sous les liens du bracelet électronique.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir8 Commentaires
Oh le pauvre petit Calimero donneur de leçons...un ptit séjour en prison me semble la moindre chose.....la larme a l œil il ne l a pas eu lors du passage à tabac de sa victime...
« C’était de l’argent sale car il faisait beaucoup de noir. Tout le monde le savait. Parfois, il ne savait même plus où il le mettait" ... Tout le monde le savait, sauf le fisc? Mais peut-être est-ce plus dangereux d'ouvrir une enquête fiscale à Lasne qu'ailleurs en Belgique...
Home "Jacking" violent..
Haro sur le baudet....Qu'on le laisse tranquille. Inutile d'en rajouter.
C'est le problème de la justice. Pas le mien.