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Attentats à Bruxelles: le long chemin pour donner un nom à chaque victime

Mercredi en fin de journée, le bilan provisoire des attentats faisait état de 31 morts et 300 blessés. Derrière ces chiffres, il y a des familles angoissées dans l’attente. Et une identification progressive des personnes décédées.

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Près de 36 heures se sont écoulées depuis les attentats de Zaventem et de Maelbeek. Et le décompte morbide fait désormais état de 31 morts et 300 blessés (dont 150 environ sont encore hospitalisés). Des chiffres terrifiants, douloureux. Mais encore trop peu de noms à y associer.

C’est qu’identifier les victimes d’un attentat prend du temps. Depuis mardi, les effectifs du DVI (Disaster Victim Identification) s’y attellent. Mais l’examen des dépouilles doit se conformer à des normes internationales, explique-t-on au centre de crise. Dont l’une prévoit que l’identification doit être sûre à 100 % avant d’être communiquée aux familles. Il faut pour cela recueillir une série d’informations, telles que des comparaisons d’ADN, les empreintes dentaires et les signes distinctifs (bijoux, tatouage, vêtements).

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