Le baromètre de la relance: manger local, une tendance qui goûte le succès
La crise sanitaire a dopé l’appétit des Belges pour les produits d’ici. La grande distribution surfe sur le phénomène. Mais gare aux faux-semblants.


Local. S’il ne fallait retenir qu’un seul mot pour cerner la grande tendance du commerce et de la consommation alimentaires en cette période de crise sanitaire, ce serait bien celui-là. A vrai dire, ce culte des denrées du cru qu’il conviendrait de préférer à la bouffe industrielle et mondialisée, était déjà bien présent dans le lexique marketing et les rayons de la grande distribution avant le confinement. Et les circuits courts, bien plus informels, avaient eux aussi la côte auprès de consommateurs exigeants. Mais le Covid-19, en bon accélérateur d’évolutions systémiques, semble avoir dopé le mouvement. A quel point ? Les études de marché restent encore lacunaires à ce sujet.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
les poires belges cancérigènes étaient aussi bio ..... :-(
Er faire venir des ouvriers de l est pour travailler c est encore considéré comme local?
Encore faut il que ce soit du vrai local, il semblerait que comme par magie il y a maintenant du bio et du local pour tout le monde, mouais, j ai des gros doutes
Mais quand on voit chez Colruyt des pommes BIO qui viennent de Nouvelle-Zélande, c'est pas gagné.... Comment leur acheteurs en gros peuvent encore miser là-dessus???