Quand JP Morgan fricote avec les kleptocrates ukrainiens
La première banque des États-Unis a permis à l’ancien régime ukrainien pro-russe de dissimuler des fonds publics. Un système qui a directement bénéficié à l’ex-lobbyiste Paul Manafort, conseiller de Donald Trump durant la présidentielle de 2016.

Novembre 2013, Kiev bouillonne. Le peuple est dans la rue, il dénonce les médicaments qui manquent, les hôpitaux publics dépouillés de leurs équipements, la corruption omniprésente sous la présidence pro-russe de Viktor Ianoukovitch. Trois mois de manifestation qui se clôtureront sur deux journées de répression sanglante : une centaine de personnes sont assassinées par les forces de l’ordre. Un an plus tard, Ianoukovitch et son chef d’état-major Andriy Klyuyev sont contraints de fuir l’Ukraine et de se réfugier en Russie.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire