De Malines à Ankara, la primauté de l’information contre le terrorisme
Les « couacs », même mineurs, constatés à Ankara, Malines ou lors de la fuite de Salah Abdeslam le 13 novembre, soulignent l’importance du renseignement, de sa conservation et de son partage


Depuis les attentats du 13 novembre à Paris et la révélation de l’implication massive dans ceux-ci de ressortissants belges ou demeurant en Belgique, la police et la justice belges se retrouvent sous le feu des critiques, tant internes que venues de l’étranger. Elles sont ravivées par les attentats commis Bruxelles. Des « fautes » ont-elles été commises ? Des erreurs sont-elles imputables à l’un ou l’autre fonctionnaire ? Des négligences ont-elles permis l’accomplissement du pire ? Outre les instructions judiciaires en cours (que renforceront de probables plaintes avec constitution de parties civiles de victimes), ces questions sont au cœur de la commission spéciales terrorisme (créée le 25 novembre 2015), des Comités de suivi des Comité P (police) et R (Renseignements) qui se réunissent la semaine prochaine et de la future commission d’enquête parlementaire que les partis représentés à la Chambre appellent de leurs vœux.

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