Biennale de l’Image possible: une biennale de combat
Pour sa douzième édition, la BIP s’interroge sur l’impact de l’art sur nos réalités… et secoue le cocotier.
Jusqu’au 25 octobre à Liège.


Sur la façade de l’ancien magasin Décathlon en Feronstrée, une phrase s’affiche doublement : « Je suis plusieurs ». Sur les murs et les portes, d’autres phrases : « Dans ma tête, il y a des vagues »,« Je peuple les angles morts », « Heurts après heurts, encore debout, les yeux rivés sur les aurores je défie les augures »... Aphorismes et poèmes composés par Sean Heart et attirant le regard sur cet espace commercial abandonné.
Durant un peu plus d’un mois, jusqu’au 25 octobre, il revit à l’occasion de la BIP, la Biennale de l’Image possible. À l’intérieur, Sean Heart propose une autre pièce intitulée Parce que ! : double sacrilège sous forme de dessin géant et de figurines sculptées montrant Tintin et Milou, transpercés par les lances de Tintin au Congo.

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