Négociations fédérales: comment Georges-Louis Bouchez a tenté de s'opposer à la nomination de Paul Magnette
La semaine qui vient de s’écouler a été déterminante dans les négociations fédérales. Des avancées, mais également de vives tensions entre les différents partenaires. Découvrez les coulisses d’une semaine très singulière marquée, notamment, par la nomination de Paul Magnette comme co-formateur.


Si les murs des salles de négociations pouvaient en témoigner, ils diraient combien les décibels ont monté ces derniers jours. Ils raconteraient les postures des uns et des autres pour ponctuer leur jeu d’une dose de dramatisation. Ils confieraient les blocages autour des sujets qui fâchent ou des hommes qui irritent.
Le Palais d’Egmont ou le siège de l’Open VLD ont connu depuis le week-end dernier des réunions pour le moins agitées entre négociateurs des sept partis de la future coalition Vivaldi, qui devrait réunir pour le 1er octobre socialistes, libéraux, écologistes et CD&V.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
GL-B, avec ses 14 élus sur 150, se prend pour le deus ex machina. En réalité chacun des partenaires est nécessaire et.....la menace d'un retrour aux discussions avec la NV-A, du PS/SPA, du CD2V/CDH renforcés par Ecolo/Groen rejetterait les bleux dans l'opposition. Il ne comprend pas que Paul s'exprime en néerlandais, même dans les discussions, alors que 60 % de nos compartiotes ont le néerlandais comme langue maternelle?????
Sept nains, dans mon jardin, se disputaient. Qui prodigue, qui radin ils convoitaient l’illusoire chaise curule d’un pouvoir de funambule. Sept nains se rengorgeaient sans voir l’inanité de leurs fumeux projets de société. Sept nains se renvoyaient à longueur de semaine insultes et billets, paradant dans l’arène. Or, les ogres attendaient, cachés au coin du bois, les nains qui minaudaient, s’ignorant aux abois. Or, les ogres avançaient dans mon jardin fané, leurs rictus menaçaient notre avenir mort-né. Et sept nains inconscients, remplis de leur ego, jouaient en médisant, dressés sur leurs ergots.
Hou le méchant Bouchez qui n'aime pas la presse qui le lui rend si bien !
"il a cassé des choses. Ce n’est pas irréparable, mais on espère qu’il a compris. " Ils se font de grands espoirs mdr.