Culture: les techniciens précarisés crient leur grande misère
Qu’ils travaillent sous contrat ou comme indépendants, pour la Culture ou pour l’événementiel, les techniciens intermittents ne se retrouvent pas dans les aides au secteur. Ils veulent se faire entendre.


Sept mois après le début de la crise du covid, un segment des techniciens de la culture continue à éprouver une misère sociale et à survivre grâce à des initiatives comme Feed the Culture, qui ne cesse depuis juin de voir croître ses distributions alimentaires. Ces techniciens précarisés commencent par nier l’évidence, puis ils ont honte d’en parler. Lorsqu’ils en parlent, ils prennent conscience qu’ils ne sont pas seuls et pourraient s’organiser.
C’est le genre de petit miracle qui s’est produit ce mardi au Magic Land Theatre, à Schaerbeek, où des techniciennes ont réuni une première table ronde de bonnes volontés pour réunir des témoignages, dénoncer l’urgence posée par cette misère et poser de nouvelles balises pour leur représentation.

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Demandez l'avis d'Eric Raspe et de Christian Radoux. Les citoyens-golems connaissent les coupables: les populistes. Moi, par exemple.
Demandez l'avis d'Eric Raspe et de Christian Radoux. Les citoyens-golems connaissent les coupables: les populistes. Moi, par exemple.