Coronavirus: les maisons de repos sous haute surveillance
En Wallonie, le nombre de clusters (dix cas ou plus) a doublé lors des sept derniers jours tandis qu’à Bruxelles, la courbe des cas confirmés est repartie à la hausse il y a trois semaines.


A l’image de l’évolution générale de l’épidémie au sein de la population, la situation dans les maisons de repos invite, si pas à l’affolement, du moins à la plus grande prudence. Si, tant à Bruxelles qu’en Wallonie, le discours reste fixé sur « pas d’emballement », force est de constater que la vigilance s’impose plus que jamais depuis le début de cette seconde vague.
Les derniers chiffres hebdomadaires de Sciensano sur la situation, présentés vendredi dernier, indiquaient déjà la couleur. Au 6 octobre, ils montraient qu’à Bruxelles, l’incidence des nouveaux cas confirmés (soit le nombre de nouveaux cas par semaine rapporté sur 1.000 résidents) atteignait 13,18 cas, confirmant un décollage amorcé il y a trois semaines par rapport aux tendances qui furent celles de cet été. En Wallonie aussi, la courbe repointe vers le haut depuis deux semaines, là où celle de la Flandre ne s’écarte guère du plancher.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir7 Commentaires
-
Posté par Deroubaix Jean-Claude, mercredi 14 octobre 2020, 13:05
-
Posté par ADAM Jean-Victor, mercredi 14 octobre 2020, 11:32
-
Posté par ADAM Jean-Victor, mercredi 14 octobre 2020, 11:30
-
Posté par Pirotte Raymonde, mercredi 14 octobre 2020, 11:00
-
Posté par Vachaudez Roger, mercredi 14 octobre 2020, 8:50
Plus de commentairesNous ne sommes pas en GUERRE, le virus n'est pas un ennemi, il n'y a pas de "plan de bataille", il n'y pas de bataille. Il y a une maladie qu'il faut SOIGNER. C'est le métier des médecins, des infirmières, pas celui de l'armée ni de la police.
La mère d'une amie a 98 ans et reçoit une transfusion tous les six mois à cause d'une leucémie. Raisonnable ? Ne faut-il pas conserver le sang pour les accidentés ou accouchées en difficulté ?
Est-ce si grave si les 90+ s'en vont un peu plus tôt que prévu ? Ma mère est décédée à 92 ans. C'était une plante alimentée par sonde (certains jours) avec perte de conscience. Cela aurait été mieux pour elle de partir plus tôt mais un cas n'est pas l'autre.
Avez-vous fait une enquête dans les "résidence-services"??? Très peu de précautions....
Je suis surpris (88ans) de toute cette solicitude pour nous. Il y a pas si longtemps nous coutions trop cher à la communauté!!!!