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Si les crânes et autres restes humains ramenés d’Afrique pouvaient parler…

L’ULB s’entend avec l’Université de Lubumbashi pour restituer des restes humains issus de la période coloniale

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Journaliste au service Monde Temps de lecture: 4 min

Dans quelles circonstances quatorze crânes de citoyens congolais furent-ils envoyés en Belgique pour se retrouver entreposés à l’Université libre de Bruxelles ? Si leur provenance exacte demeure inconnue, on sait désormais que ces dépouilles retrouveront bientôt la terre de leurs ancêtres et nourriront des recherches et des réflexions communes.

En effet, l’ULB vient de signer avec l’université de Lubumbashi (Unilu), sa partenaire depuis 60 ans, une convention portant sur la restitution d’un certain nombre de crânes et autres restes humains ramenés en Belgique à la fin du XIXe siècle. Au-delà de cette convention conclue dans « une approche digne et respectueuse », les deux universités se proposent de mettre en place une plate-forme de réflexion à propos du retour d’objets d’origine congolaise, qu’il s’agisse de restes humains, de biens culturels ou du fruit du pillage de ressources naturelles dans le contexte de l’époque, celui du travail forcé.

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