Professeur décapité en France: «C’est un acte de dépit. On ne peut rien faire contre l’école»
Au-delà de l’acte innommable, comment comprendre l’émoi qui secoue la France suite au meurtre d’un enseignant ? Les explications de la sociologue Françoise Lantheaume.


L’émoi est considérable, en France, au lendemain de l’annonce de l’attentat commis contre un enseignant des Yvelines. À Conflans-Saint-Honorine, un professeur d’histoire a été décapité près du collège, jugé tranquille, au sein duquel il enseignait.
Dans le cadre d’un cours sur la liberté d’expression, le professeur avait invité les élèves de confession musulmane à lever la main et à quitter la salle de classe s’ils le souhaitaient avant de montrer des caricatures du prophète Mahomet. La méthode avait provoqué la colère de certains parents qui s’en étaient émus, notamment sur les réseaux sociaux.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir9 Commentaires
-
Posté par Verkaeren Paul, dimanche 18 octobre 2020, 9:22
-
Posté par Dulieu Christian, samedi 17 octobre 2020, 23:18
-
Posté par B Thomas, samedi 17 octobre 2020, 23:15
-
Posté par Baeyens Remi, samedi 17 octobre 2020, 20:15
-
Posté par CARLIER Jean-Claude, samedi 17 octobre 2020, 19:52
Plus de commentairesEt surtout, mais alors surtout! faire semblant d'ignorer que le problème existe depuis 25-30 ans. Faire semblant d'ignorer que politiques et médias ont été avertis depuis 25-30 ans. Copieusement... avec comme réponses l'indifférence, dans le meilleur des cas, l'insulte "raciste", le plus souvent...
notre histoire n'as rien a voir avec ce ramassis de migrants s'ils ne veulent pas accepter cela qu'ils retourne de ou ils viennent ils ne sont ici que pour profiter et nous nuire et je ne suis pas raciste 'sil veulent leur façon de vivre et bien qu'ils retournent ou reste chez eux et pas nous imposer leur manière de vivre et si tu viens chez moi tu te plie a tes droits et tes devoirs mais ici on est trop con chez eux tu vole on te coupe la main tu recommence et bien tu te retrouve sans mains ici on leur dit attention tu vas avoir un fessée on est vraiment con toute la familles je dit bien toute la foutre dehors
Le principe des précautions c'est seulement pour la 5G ?
Le problème se propage à l'enseignement en général. Veux t'on inculquer nos valeurs ou veut on nous limiter en tenant compte de la 'diversité' et en brouillant le message de la pluralité et de la liberté d'opinion. En Belgique, je n'en suis pas convaincu quand je lis que les étudiants du 'Libre Examen' de l'ULB condamnant un professeur compétent contestant certaines affirmations des 'climatologues" bien pensants'?. Nous nous trouvons dans une situation analogue de dogmatisme opposé aux débat scientifique serein? A quand les progroms ?
Pour la sociologue française Françoise Lantheaume, Question : Craignez-vous une forme d’autocensure de la part du corps enseignant suite à cet attentat ? Réponse : Je ne crois pas. Début de l'article du Soir : Dans le cadre d’un cours sur la liberté d’expression, le professeur avait invité les élèves de confession musulmane à lever la main et à quitter la salle de classe s’ils le souhaitaient .... Les bobos gauchistes nous prennent pour des cons !