Face au covid, la plupart des hôpitaux devraient précipiter le passage en phase critique
Rien ne s’arrange sur le front hospitalier. Parfois rattrapées par la réalité, les phases des plans d’urgence vont se succéder cette semaine.


Nous sommes proches d’un tsunami. Si ça continue, on est foutu… ». Frank Vandenbroucke, nouveau ministre (SP.A) de la Santé, sait choisir les mots qui, à défaut de rassurer la population, lui feront peut-être prendre conscience de la gravité de la situation. Dimanche sur RTL-TVI, il a en effet fait monter d’un cran le climat anxiogène, pointant la Wallonie. Après les hôpitaux de Liège qui, vendredi, annonçaient être au bord de la saturation, leurs confrères francophones pourraient, prochainement, lancer la même alerte.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir9 Commentaires
Cogito, ergo sum . Le "Prof" Vandenbroucke: j'agis puis je réfléchis (Van Acker) « En quel genre, en quel coin de l’animalité Classerons-nous le Belge ? » Une Société Scientifique avait posé ce dur problème. Alors le grand Cuvier se leva, tremblant, blême, Et pour toutes raisons criant : « Je jette aux chiens Ma langue ! Car, messieurs les Académiciens, L’espace est un peu grand depuis les singes Jusques aux mollusques ! (Baudelaire)
La toute-puissance de vouloir controler une épidémie de ce type défendue par le politique et entretenue par la presse est un mensonge et un manque absolu d'humilité. Cela n'a jamais existé par le passé (voire les épidémies récentes de 1918, 1958, 1969). On ne peut pas dimensionner les hopitaux pour de telles situations .... et le confinement des populations dont les trois-quarts les plus jeunes n'ont rien à craindre de ce virus est un reniement complet de ce qu'est la condition humaine. Que les hopitaux fassent ce qui s'est toujours fait dans ces situations: auront des soins hospitaliers les personnes d'abord jeunes et ensuite celles qui ont le plus de chance de s'en sortir. Sortons de ce monde de bisounours totalement irréaliste.
Monsieur Renoy, on peut mourir pour des tas de raisons et tout le monde meurt un jour. Si quelqu’un vous a un jour dit que vous aviez un droit à l’immortalité, il vous a menti.
Eh bien faites vos bagages, Monsieur Raspe. On ne vous mérite pas. Allez donc vous établir chez des gens plus à votre niveau. Vous croyez quoi? Que les Belges vont changer pour vous? Mais les Japonais ne changeront pas pour vous non plus, vous savez.
Direz-vous toujours la même chose lorsque vous vous retrouverez entre la vie et la mort ?