Vuelta: Covid et météo sur la route de Primoz Roglic
Un Tour d’Espagne qui s’élance alors que son équivalent italien aborde la troisième de course, c’est plutôt déroutant. Crise sanitaire oblige, la Vuelta se réinvente, elle aussi. Seule certitude : son dernier vainqueur est le principal favori 2020.

Jusqu’en 1994, il était programmé juste après les classiques du printemps, avant d’être repoussé vers le mois de septembre, un déménagement dans le calendrier cycliste n’est donc pas une première pour lui. Mais un Tour d’Espagne qui s’ouvre alors que le Giro entre seulement dans sa phase décisive, c’est évidemment inédit. Une concomitance forcément imposée par cette interminable crise sanitaire, qui densifie la saison (la rend particulièrement passionnante ?) et dépoussière les habitudes auxquelles les champions se référaient, presque par réflexe.
Amputée des trois étapes initialement programmées aux Pays-Bas (Utrecht et environs), l’épreuve s’élancera ce mardi d’Irun, dans ce Pays Basque qui avait inspiré Philippe Gilbert par le passé, pour un parcours jalonné de dix-huit haltes et 2.897 kilomètres à travers l’Espagne et les Pyrénées françaises (Tourmalet), du moins si la météo l’autorise.

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