Argentine: inquiétudes sur la politique du président argentin Macri en matière de droits humains
Il y a 40 ans, l’Argentine sombrait dans une dictature sanglante. Or le gouvernement du nouveau président, Mauricio Macri, semble moins enclin à lutter pour la justice que ceux qui l’on précédé.


Il y a 40 ans, un coup d’Etat faisait basculer l’Argentine dans une sanglante dictature militaire, qui a sévi de mars 1976 à 1983, faisant 30.000 morts et disparus, et poussant à l’exil 1,5 million d’Argentins. Pendant ces années sombres, au moins 500 bébés furent en outre volés à des prisonnières politiques et confiés à des familles proches de la junte.
Cette année, les commémorations ont été teintées d’une certaine inquiétude : durant la présidence de Nestor Kirchner (2003-2007) puis celle de son épouse Cristina (2007-2015), tous deux plutôt à gauche, il y a eu une vraie volonté politique d’avancer dans la lutte pour la justice et contre l’impunité. Mais depuis décembre dernier, l’Argentine a un nouveau président, nettement plus à droite : Mauricio Macri.

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