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«Quand le pouvoir se libère des freins, la machine devient folle»

La manière dont les autorités gèrent la crise est génératrice, selon Anne-Emmanuelle Bourgaux, de différents coûts : juridique, démocratique et en termes d’efficacité.

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Les mesures prises sur le front de la lutte contre la pandémie sont-elles acceptables ou vont-elles trop loin ?

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3 Commentaires

  • Posté par Charlot Michel, mardi 27 octobre 2020, 13:56

    Je suppose que les partis extrêmes - gauche et droite - se frottent les mains : s'ils prennent un jour le pouvoir, la voie est toute tracée pour gouverner sans contrôle et comme ils le veulent, y compris le traçage des citoyens. Que demander de plus pour assurer un pouvoir totalitaire ?

  • Posté par Clesse Fernande, mardi 27 octobre 2020, 13:28

    > Comment se préparer et respecter des normes qui nous sont communiquées la veille ou le jour même ? L’Etat nous menace de sanctions sans nous donner les moyens de bien obéir. Cela rend la lutte contre la pandémie moins efficace. Mais le virus n'a que faire de nos normes intellectuelles. Quand tout est dit il ne reste que l'hygiène personnelle et publique pour lutter.

  • Posté par Clesse Fernande, mardi 27 octobre 2020, 13:45

    Mais sinon, excellent entretien qui expose fort clairement le problème de gouvernance et de politique que l'on affronte.

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