Coronavirus: l’épidémie s’accélère en Flandre, les hospitalisations doublent tous les 6 jours
Depuis le début de la crise sanitaire, plus de 11.000 personnes ont perdu la vie, en Belgique, des suites du Covid-19.
Le Centre de crise a fait le point ce mercredi matin : tous les indicateurs sont à la hausse. « Le virus est comme un poisson dans l’eau », déclare Steven Van Gucht.
L’accélération de l’épidémie est désormais la plus rapide au nord du pays. La Flandre a pris des mesures ce mardi, mais n’a pas aligné son couvre-feu avec le reste du pays. « Ces mesures n’auront un impact qu’après une dizaine de jours », rappelle Yves Van Laethem. « Cela ne doit pas nous décourager a continuer à appliquer les mesures, seule manière pour stabiliser le pic des admissions à l’hôpital ».
« Les indicateurs sont au rouge. Hier, 689 hospitalisations ont été déclarées, ce qui est plus que le pic du 28 mars. Ces chiffres vont continueront à augmenter, au moins pendant quelques jours ». À ce rythme, nous atteindrons 2.000 patients en soins intensifs d’ici le 6 novembre, affirme le Centre de crise.
Le nombre d’hospitalisation double tous les 8 jours, et tous les 6 jours pour la Flandre. 5.554 patients sont actuellement hospitalisés. « Si les tendances se poursuivent, nous devront atteindre les 1.000 patients aux soins intensifs dans les deux jours, et les 2.000 patients pour le 6 novembre. Ce scénario n’est pas certain mais ne peux plus être exclu ».
« Ce n’est pas le temps de la chamaillerie, mais de l’action solidaire », ajoute Yves Van Laethem.
Cent quatre nouveaux décès attribués au coronavirus ont été enregistrés le lundi 26 octobre, en pleine deuxième vague de la pandémie. La dernière fois que la barre des 100 morts a été dépassée remonte à fin avril, ressort-il mercredi matin du tableau de bord de l’Institut de santé publique Sciensano. On avait enregistré 107 décès le 29 avril.
Depuis le début de la crise sanitaire, plus de 11.000 personnes ont perdu la vie, en Belgique, des suites du Covid-19.
© Rossel & Cie - 2023
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Monsieur Jambon pensait que le virus restait dans le sud de la Belgique. Bientôt il affirmera que c'est le sud qui a contaminé le nord.
Si on se posait 2 minutes pour réfléchir et prendre un peu de hauteur ? 1- Une maladie nouvelle émerge dans une ville de 11 millions d’habitants où siègent 2 énormes laboratoires (P4) de très haute sécurité biologique pour l'étude de virus pathogènes inconnus, cofinancés par les Français et les Américains. Mais c’est la faute du pangolin. 2- On nous a prédit des « millions de morts » dans le monde. Mais nous en sommes aujourd’hui à 1,1 million, soit 1 personne sur 78 000. Il y en a 7 millions de la pollution. Chaque année Et 57 millions, toutes causes confondues. Chaque année. 3- Il n’y a pas eu de surmortalité en France sur les 9 premiers mois de 2020 par rapport à 2018 (481 000 environ) Mais c’est une maladie extrêmement dangereuse. 4- Les personnes qui, malheureusement, meurent de cette maladie ont en moyenne 84 ans. Notre espérance de vie moyenne en France est de 82 ans Mais, c’est toute la population dans son intégralité, quel que soit son âge, qui doit s’astreindre sans rechigner, sous peine d’être considérée comme non solidaires, à des mesures drastiques qui les privent de leur liberté. De respirer, de bouger, d’exercer leur activité professionnelle, et maintenant d’avoir des loisirs sportifs le jour et de convivialité le soir. 5- SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale : - il donne 85 % de formes bénignes, - plus de 99 % des sujets infectés guérissent, Mais il est présenté comme affreusement dangereux et appelé pandémie à l’instar de la grippe espagnole qui a fait 15 millions de morts sur une population alors de 1 milliard et demi. 6- Toutes les personnes qui décèdent ont soit 4 facteurs de co morbidité très rapidement identifiés : âge, surpoids / obésité, maladies cardio-vasculaires ou pathologies préalables, soit sont surexposées comme les malheureux soignants. Mais tout le monde, peu importe son état de santé, a à faire évoluer son mode de vie pour se protéger. 7- Les personnes en bonne santé ne contractent JAMAIS de forme sévère de la maladie et n’en meurent donc pas. Mais pas un mot sur le fait de prendre soin de sa forme physique et psychique, de booster son système immunitaire, de s’alimenter en conséquence. 8- La courbe des décès descend considérablement, indiquant donc que l’épidémie dans ses cas sévères voire mortels décroît énormément. (3347 morts en octobre contre 20 847 en avril. Le taux de létalité (nombre de malades qui décèdent) a été divisé par 2. Le taux de mortalité (nombre de personnes qui décèdent sur l’ensemble d’une population) par 40. Mais les cas positifs eux augmentent, donc il y a une « 2° vague », promise pour "dans 15 jours" depuis des mois. 9- Cette maladie terriblement mortelle a tué en moyenne 115 morts par jour (en France) depuis le 1er mars. Ce, en incluant les piques à plus 2 000 morts par jour en mars avril Mais tout est fait pour qu’elle terrorise encore 67 millions de personnes et les empêchent ainsi de penser… 10- 35 052 morts sont comptabilisés à ce jour comme morts AVEC le covid. Mais il n’y a pas d’autopsie et beaucoup mois de paperasserie si la cause indiquée est covid. Et toute personne atteinte de pathologie préalable ou en contact avec des personnes contaminées est comptabilisée comme morte DU covid. 11- 35 052 morts sur 67 millions = 0,0049% de la population. Et il y a chaque année : 49 000 morts de la pollution aux particules fines = 0,073% de nous toutes et tous (toujours en France). = 134 en moyenne chaque jour 606 000 morts toutes causes confondues. = un peu moins de 1% de nous toutes et tous = 1 660 en moyenne chaque jour Mais on fait comme si de rien n’était pour la pollution, on ne change quasi rien à nos modes de vie, et on bouleverse tout pour le covid 12- En mars, au pic de la pandémie, les masques ne "servent à rien", les membres du gouvernement ne savent même pas comment les mettre… Mais en octobre, ils sont obligatoires pour tous tout le temps, jusque dans la rue, les parcs et les plages… Ce quel que soit leurs impacts sur la santé physique et psychique. Et l’inefficacité de les porter à l’extérieur. 13- En avril, les masques commencent à avoir meilleure presse notamment pour protéger les surexposés que sont les soignants. Mais les pharmacies ne sont pas autorisées à les vendre. Les supermarchés oui. 14- Les soignants sont applaudis religieusement tous les soirs à 20h pendant 2 mois et appelés héros. Mais ils n’ont non seulement pas eu les moyens de faire face pendant le pic, mais pire encore, ne sont toujours pas entendus, le Ségur a été une sombre farce et ils sont désormais des milliers, écœurés, à… démissionner ! 15- « Nous prendrons toutes les mesures nécessaires, quoi qu’il en coûte » (Macron le 12 mars) Et en juillet, Véran promet 12.000 lits de réanimation à l'automne. Mais il y a toujours exactement le même nombre de lits de réa en France : 5 000 pour 67 millions d’habitants. Soit 50 par département. Et Macron ose sans honte un « Ce n'est pas qu'une question de moyens, c'est une question d’organisation» le 6 octobre en visite à l’hôpital Rothschild. 16- Il n’y a pas d’argent pour l’hôpital pour rémunérer dignement les équipes soignants et leur donner les moyens d’exercer honorablement leur métier, Mais il y a eu 20 MILLIARDS dès le 20 avril pour Air France, Renault et Vallourec sans aucune contrepartie environnementale et sociale. Et il y a soudainement à la veille du couvre-feu 325 millions pour la police avec prime de nuit pour les répressions nocturnes… 17- Il n’y a pas de cluster dans les salles de sport (27 millions d’entrées entre le déconfinement et septembre / 200 cas positifs.) Et le sport est un des moyens les plus efficaces de se maintenir en santé Mais « on » les ferme. 18- Il n’y a pas de cluster dans les bars et les restaurants qui se sont scrupuleusement soumis après 2 mois de fermeture à des règles très contraignantes et ont déjà subi une énorme baisse d’activité. Et les moments de convivialité sont un des moyens les plus efficaces de rester en santé psychique. Mais « on » les referme. 19- Il n’y a pas de cluster dans les salles de spectacles. Et les moments de rencontre artistiques sont un des moyens les plus efficaces de se connecter à la création et à la beauté donc de se changer les idées, donc d’apaiser le stress. Mais « on » les ferme. 20- Les clusters aujourd'hui identifiés (toujours en cas positifs et non en malades réels…) sont de toute évidence les lieux où nous sommes est nombreux : les entreprises et les transports en commun. Mais eux continuent de tourner sans être inquiétés, ni même vraiment contraints à de vraies mesures. Faut que l’économie tourne hein… 21- Il n’y a qu’une recrudescence que de cas, qui, on ne le répétera jamais assez, ne sont PAS des malades, juste des personnes qui ont des traces de virus dans les narines. Ce avec des tests PCR sursensibles qui créent 30% de faux positifs ! Mais on couvre le feu et crée encore plus de solitude, de désespoir, de chômage, de faillites, de misère, sans parler bien sûr des consultations impossibles, des prises en charge retardées, des opérations repoussées, ni des décrets indécents qui passent en catimini (subventions aux grandes entreprises sans aucune contrepartie, moratoire sur le glyphosate, détricotage du droit du travail, délitement à pleurer de des 150 propositions de la Convention Citoyenne, interdiction de l’instruction en famille, et j’en oublie, là aussi, pléthore…) Pour 0,049% de morts.
Peeters la citation complète est "on nous empêche de soigner avec ce que nous pensons être le meilleur traitement possible". Le soucis, c'est qu'il est admis que l'hydroxychloroquine ne marche pas. Elle a été exclue des traitements de son plus grand admirateur : Trump. Désolé, vous continuez à miser sur le mauvais cheval.
@râpe Eric Le Pr. Didier Raoult : On nous empêche de soigner les malades ! https://www.youtube.com/watch?v=zp_QgTEPPG0
Dans moins de 15 jours, on ne pourra plus soigner personne. Vous portez bien votre nom.