Carte blanche: «Le droit au logement reste un droit, même en temps de crise sanitaire»
Le gouvernement bruxellois doit prendre des mesures d’urgence en matière de logement pour faire face à la deuxième vague de covid. A commencer par un nouveau moratoire sur les expulsions domiciliaires.

Aujourd’hui, nous vivons une deuxième vague de contamination qui a poussé le gouvernement bruxellois à annoncer de nouvelles mesures, notamment un couvre-feu très strict. Les hôpitaux sont à nouveau débordés, il n’y a pas eu de refinancement suffisant entre mars et octobre, et ne semble plus à l’ordre du jour. Absent également du discours politique : le droit au logement, qui est totalement négligé. Pourtant, la nécessité de se loger dignement apparaît plus que jamais indispensable… sauf que la mise en œuvre de ce droit se heurte aux intérêts des bailleurs, ainsi que des banques (qui bénéficient d’un soutien étatique indéfectible).

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Je comprends parfaitement la nécessite de telles mesures : chacun devrait disposer d'un logement salubre, fut-il minimaliste. Cependant ; en tant que propriétaire; je ne louerai rien avec un tel cadre légal. Un bien mobilier c'est un énorme investissement, un bien qui s'use plus par l'usage et dont l'usage doit être compensé par un revenu. Mettre à mal le droit de propriété ne profitera à personne.