Et si de Gaulle avait parlé à Cohn-Bendit
Christine Clerc imagine leur rencontre, et ça sonne juste.


M ais enfin, ce Cohn-Bendit, qu’est-ce qu’il a pour lui ? Comment s’y prend-il pour entraîner tant de jeunes derrière lui ? » C’est la première phrase de Le tombeur du général, de la journaliste écrivaine Christine Clerc. Et, d’emblée, on est entraîné dans ces événements extraordinaires de Mai 68. Cette révolte des jeunes mêlée à l’incompréhension totale des hommes politiques, le vieux général de Gaulle en tête. Déjà, on sent le président de la République fasciné par le charisme de cet étudiant aux cheveux roux. Et la rencontre purement fictionnelle entre ces deux personnages, le soir du 28 mai, semble rapidement naturelle, évidente même.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
J'ai passé cinq jours à Paris en décembre 1968 pour m'imbiber de l'ambiance de Mai. Tout comme de Gaulle, Daniel Cohn-Bendit reste toute sa vie une figure de proue charismatique. Je ne connais qu'un seul homme politique wallon qui soit arrivé à sa hauteur de vue, à chacun de deviner lequel.