Lettre du Brexit: Boris, Donald et Joe, le trio explosif de la «special relationship»

La relation privilégiée entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis pourrait prendre une tout autre tournure après l’élection présidentielle américaine et ce, quel qu’en soit le résultat.

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Par Marc Roche

Publié le 3/11/2020 à 10:57 Temps de lecture: 5 min

On connaît la proximité du Premier ministre britannique, Boris Johnson, avec l’actuel président américain, Donald Trump. Et si Joe Biden était élu ? Le scénario d’une victoire du candidat démocrate devrait donner des sueurs froides à l’hôte du 10 Downing Street qui s’entend à merveille avec le locataire du Bureau Ovale.

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2 Commentaires

Posté par DUFOUR Frédéric, mercredi 4 novembre 2020, 10:28

"Selon (l'ex-ambassadeur de France aux Etats-Unis Gérard Araud), l'administration Trump 'ne pense pas en termes de coopération multilatérale' et 'n'a aucune affection à l'égard des Européens'. 'Elle traite les Européens comme elle traite les Chinois'', ajoute-t-il, mettant en garde Londres, qui espère négocier un traité commercial avec Washington après le Brexit: 'Lorsque les Britanniques viendront pour un accord de libre-échange, il y aura du sang sur les murs et ce sera du sang britannique.'" Extrait de l'article Belga "A l'heure de la retraite, l'ambassadeur de France à Washington compare Trump à Louis XIV" paru dans La Libre le 16 avril 201.

Posté par Albin S. Carré, mardi 3 novembre 2020, 12:17

M. Johnson avait pour seul objectif le poste de premier ministre. Il y est arrivé en utilisant les mêmes techniques peu reluisantes que M. Trump. La suite et les conséquences sont de peu d'importance à ses yeux.

Posté par DUFOUR Frédéric, mercredi 4 novembre 2020, 10:28

"Selon (l'ex-ambassadeur de France aux Etats-Unis Gérard Araud), l'administration Trump 'ne pense pas en termes de coopération multilatérale' et 'n'a aucune affection à l'égard des Européens'. 'Elle traite les Européens comme elle traite les Chinois'', ajoute-t-il, mettant en garde Londres, qui espère négocier un traité commercial avec Washington après le Brexit: 'Lorsque les Britanniques viendront pour un accord de libre-échange, il y aura du sang sur les murs et ce sera du sang britannique.'" Extrait de l'article Belga "A l'heure de la retraite, l'ambassadeur de France à Washington compare Trump à Louis XIV" paru dans La Libre le 16 avril 201.
Posté par Albin S. Carré, mardi 3 novembre 2020, 12:17

M. Johnson avait pour seul objectif le poste de premier ministre. Il y est arrivé en utilisant les mêmes techniques peu reluisantes que M. Trump. La suite et les conséquences sont de peu d'importance à ses yeux.