Carlos Ghosn à Beyrouth, un fugitif en quête de réhabilitation
Réfugié depuis le début de l’année au Liban, l’ancien patron de Renault et Nissan y refait sa vie et cherche à restaurer sa réputation dans un livre publié ce mercredi.
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D’un homme politique qui serait en retrait de la vie publique, on dirait qu’il envoie des cartes postales, qui, chacune, serait le signe d’une envie de revenir sur le devant de la scène. Mais lui, que cherche-t-il ? Que ne se laisse-t-il glisser dans le confort de l’oubli ? « Je veux qu’il y ait au moins une référence, écrite par moi, sur ce qui s’est passé, sur ce que j’ai vécu. Cela me semble nécessaire », répond Carlos Ghosn. Après une conférence de presse survoltée en début d’année, après des interviews abattues à ce moment-là au rythme d’une bête de foire, voilà que l’ex-patron de Renault et Nissan, célébrissime fugitif réfugié à Beyrouth depuis son évasion spectaculaire du Japon le 30 décembre 2019, publie un livre,

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir10 Commentaires
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Posté par Morgenthal Jean-Claude, mardi 27 juillet 2021, 20:01
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Posté par Dupont Stéphane, mardi 10 novembre 2020, 14:59
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Posté par SORTE Christian, lundi 9 novembre 2020, 21:55
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Posté par Desmet Marc, lundi 9 novembre 2020, 9:51
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Posté par Persenaire André, dimanche 8 novembre 2020, 19:53
Plus de commentairesAucune dignité, ce mec.
C'est son plan qui a été suivi par Dreyfus, à savoir fermeture de 3 usines hors France ( dont Vilvorde) pour réduire la production. Une fois de plus nous avons été couillonnés par les Français
Tout à fait le langage de Conald Trump !
Le fossoyeur de Renault Belgique sacrifiée au nom de la bourse. Le gars qui fermait des sites rentables, virait les ouvriers, et en même temps qui augmentait ses émoluments! Le kapo-larbin des actionnaires libre grâce à son FRIC... et une justice "des amis de mes amis". Bye bye à tout jamais!
[...] un homme « pas très intelligent » [...] « Au mieux, des benêts. Au pire, des traîtres. » : on dirait de Trump.