Des centaines de milliers de virus animaux sont prêts à contaminer l’humanité
Les activités humaines n’ont de cesse de favoriser les contacts entre hommes et animaux, ce qui accroît dangereusement le risque d’apparition de nouvelles zoonoses pandémiques, avertissent des experts en biodiversité dans un récent rapport.
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Loin d’y voir un mauvais coup du sort, nous devrions nous sentir collectivement responsables de la pandémie actuelle de coronavirus et nous interroger sur l’avenir que nous voulons nous préparer. C’est, en substance, le message véhiculé par le dernier rapport de l’IPBES, une plateforme intergouvernementale d’experts de la biodiversité rattachés à l’ONU, qui alerte sur les liens entre dégradation des milieux naturels et exposition à des virus animaux dangereux.
« Il n’y a pas encore de preuve scientifique formelle que l’atteinte à la biodiversité soit en cause dans le cas du Sars-CoV-2, mais l’hypothèse tient », analyse Gilles Salvat, directeur général délégué à la recherche à l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) qui n’a pas participé à ces travaux. « C’est par ailleurs très bien documenté dans d’autres cas. »

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Posté par cordier laurent, samedi 14 novembre 2020, 7:52
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Posté par Vincent Mireille, vendredi 13 novembre 2020, 22:26
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Posté par Legarou Marcel, vendredi 13 novembre 2020, 19:53
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Posté par Chalet Alain, jeudi 12 novembre 2020, 21:36
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Posté par Lucas Jean-Pierre, jeudi 12 novembre 2020, 17:06
Plus de commentairesPensez vous vraiment que ce soit le moment de faire paraître ce genre d'article à l'heure où tout le monde souffre des effets du coronavirus. Ensuite vous écrirez un article sur les ravages psychologiques du confinement ??
On n'a pas fini d'être confinés....
Si on les écoute, on peine à comprendre comment le Brésil n'a pas encore été submergé par des dizaines de pandémies depuis qu'il a été fondé. La cohabitation homme/nature ne date pas d'hier et pourtant nous sommes toujours là.
A partir de certaines vérités, cet article mélange des extrapolations et des généralisations douteuses pour tenter de démontrer des idées préconçues. Ce n'est pas une démarche très scientifique.
Il faudrait dire ceci à Bolsonaro au risque de n’être écouté ni entendu.