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«Nous avons politiquement et collectivement un devoir d’action»

À l’invitation à un devoir d’espoir, exprimée par Thomas Dermine, secrétaire d’Etat à la Relance et aux Investissements stratégiques, les fers de lance du mouvement pour le climat en Belgique répliquent par une invitation à un devoir d’actions cohérentes

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Il y a quelques jours, Monsieur Thomas Dermine, exprimait dans une carte blanche « le devoir d’espoir » collectif de sa génération pour l’avenir, celui « de projets concrets qui changent la vie de nos concitoyens et qui modifient nos villes et nos campagnes ». Entendre notre nouveau secrétaire d’Etat à la Relance et aux Investissements stratégiques parler de « projets concrets » et de « vision ambitieuse » pour les années à venir, ça nous rebooste l’espoir, c’est sûr. Par contre, ce qui n’est pas clair et qui pourrait nous faire peur, c’est ce qui sera mis sous le « plan de relance ».

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