«Nous avons politiquement et collectivement un devoir d’action»
À l’invitation à un devoir d’espoir, exprimée par Thomas Dermine, secrétaire d’Etat à la Relance et aux Investissements stratégiques, les fers de lance du mouvement pour le climat en Belgique répliquent par une invitation à un devoir d’actions cohérentes
![Image=d-20190215-3R9D5V_high[1]](/sites/default/files/dpistyles_v2/ls_16_9_864w/2020/11/11/node_337265/27798882/public/2020/11/11/B9725217399Z.1_20201111180535_000+GIRH1U9SR.1-0.jpg?itok=-bnh7-kN1605114343)
Il y a quelques jours, Monsieur Thomas Dermine, exprimait dans une carte blanche « le devoir d’espoir » collectif de sa génération pour l’avenir, celui « de projets concrets qui changent la vie de nos concitoyens et qui modifient nos villes et nos campagnes ». Entendre notre nouveau secrétaire d’Etat à la Relance et aux Investissements stratégiques parler de « projets concrets » et de « vision ambitieuse » pour les années à venir, ça nous rebooste l’espoir, c’est sûr. Par contre, ce qui n’est pas clair et qui pourrait nous faire peur, c’est ce qui sera mis sous le « plan de relance ».

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