Le Portugal n’a pas perdu son temps depuis l’Euro 2016
La France, son adversaire de ce samedi soir, à 20h45 au Estádio da Luz, avait déjà mesuré, en son temps, dans son jardin de Saint-Denis, que la Seleção était entrée dans une nouvelle ère.

Une ère inédite même. Qui n’était plus celle des promesses, de la « Geração d’ouro », de la « Génération dorée » (Figo, Rui Costa, João Pinto, Fernando Couto + Deco), désillusionnée après sa défaite en finale de son Euro 2004 et définitivement retraitée après la Coupe du monde 2006. Une ère qui ne serait plus non plus exclusivement tributaire des humeurs de Cristiano Ronaldo. Bien évidemment, le « highlander » madérien est toujours là : mercredi, il a d’ailleurs encore marqué, son 102e but en sélection. Le 746e de sa carrière pour rejoindre Ferenc Puskas, le 4e meilleur buteur de l’histoire. Le 21 juin prochain, CR7 sera toujours là pour affronter ces mêmes « Bleus », à Budapest dans le stade dédié au « Major galopant » dans un Euro où le Portugal défendra son titre. Le tout premier d’une histoire bâtie jusqu’alors autour de grandes promesses tenues à moitié avec 5 éliminations en demi-finales dans les grands tournois.

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